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Transdisciplinarité, humanisme, éducation, technologie et faits sociaux (2016/...)

Après les droits de l’homme, le droit de l’âme et du biochamp des êtres. Notes théoriques et d’acceptabilité. Cristina Elena Popa Tache & Jean-Luc Martin-Lagardette

Résumé : La logique juridique est un outil efficace pour rassembler les usages, traditions et coutumes en vigueur depuis des temps immémoriaux issus du droit naturel, du droit canonique, des droits de l’homme et, plus récemment, du droit naturel. En constatant que la plupart des gens croient en l’existence de l’âme comme principe spirituel, l’énergie qui anime et unit tous les êtres vivants (de la conscience humaine aux champs énergétiques de toutes les formes de vie), nous confrontons la coutume comme prélude à une nouvelle loi. Constitué de règles juridiques non écrites, élaborées par la pratique de la vie sociale et transmises, de génération en génération, par la tradition, ce droit de l’âme et de la bioénergie des êtres existe de facto, dans le monde entier (mais de manière dissipée et fragmentée) notamment dans le domaine des religions et des médecines complémentaires. Elle doit maintenant être rationnellement reconsidérée, développée et protégée au niveau international comme un droit appartenant à tous les êtres vivants. Pour la production de ce matériel, la méthode d’introspection de la consilience a été utilisée. Dans une première partie, l’article présente les fondements théoriques de cette approche juridique, et dans une seconde partie, il explore les conditions de son acceptabilité et la nouvelle logique qui en permettrait une lecture fructueuse.

Mots-clés : droits de l’homme, coutume, âme, bioénergie, logique juridique.

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